LIBERTÀ PER GLI NAROISIANI
11 mars 223
Ouverture des hostilités en Asnaywana du Sud
Des véhicules blindés tawkirinais mobilisés dans la province d'Omharique (Images LWNP)
L'Empire du Tawkirina a lancé une offensive importante contre l'Asnaywana du Sud le samedi 9 mars au soir, qui s'est suivie d'une escalade des tensions et d'une mobilisation militaire de plusieurs nations, alors que l'Union de Novgrad vient d'entrer en guerre contre le Tawkirina.
Cela faisait presque 2 jours que les habitants d'Asnaywana du Sud ont vu leur quotidien chamboulé par le déclenchement soudain du conflit. Après plusieurs jours d'escalade et de tensions entre les deux pays, qui avaient vu les manoeuvres s'intensifier à la frontière, à 21h20 le 9 mars, près de 60 000 soldats de l'Empire de Tawkirina se sont engagés dans une offensive d'ampleur à la frontière Sud-Est de l'Asnaywana du Sud, leurs troupes avançant rapidement du fait de l'impréparation de l'Armée Révolutionnaire d'Asnaywana. L'Armée s'est également replié dans l'Ouest du territoire, craignant une attaque par le Kilemyana, où d'importants effectifs tawkirinais ont été mobilisés. Les forces armées tawkirinaises occupe déjà près de 30% du territoire, et seraient aux portes de Djamuda.
Le front s'est rapidement avancé vers Djamuda, la capitale sud-asnaywanaise, où sont encore présents des soldats de l'Union de Novgrad. Celle-ci a indiqué avoir essuyé des attaques de la part des troupes tawkirinaises, alors que les 2000 soldats novgradois étaient déployés pour assurer la protection de la capitale contre un siège éventuel. La riposte novgradoise est survenu dans la nuit du 10 au 11, avec le débarquement maritime, vraisemblablement depuis le territoire de la Commune de Xhat, de près de 4000 soldats novgradois dans le Nord-Est de la province de Serkalem. Le débarquement s'est fait sans difficulté, mais les gendarmes tawkirinais et l'Armée de l'Eau ont été mobilisées rapidement. Novgrad occuperait actuellement une partie restreinte du littoral à proximité de la ville de Shemibeko. Plusieurs dizaines d'avions novgradois auraient par ailleurs survolés la ville de Shemibeko en haute altitude, sans davantage d'informations pour le moment.
Dans le même temps, la 4ème Flotte de Novgrad serait sortie du port de Livensk et se situerait actuellement en Mer de Jade, probablement en préparation d'une opération d'ampleur au Tawkirina.
Nombre de pays voisins ont mobilisés leurs forces en réaction à la situation en cours. La Fédération populaire paysanne de Transmaldinie a mobilisé ses troupes et auraient permis le déploiement de 4 divisions sunyixianaises à sa frontière.
La République d'Asnaywana du Nord s'est mise en état d'alerte et a publié des indications à l'attention de la population en cas de bombardement. L'État du Dawwfiq, dominion du Samvelde, a mobilisé sa Garde Nationale et a fait évacuer plusieurs villages à la frontière avec l'Asnaywana du Sud.
Sur le territoire de l'Union de Novgrad, le niveau d'alerte serait passé à un niveau supérieur, alors que des mouvements de troupes auraient été signalés des deux côtés de la frontière novgrado-borowenienne.
La communauté internationale suit de près la situation. Le commandement des Corps de la Paix pour la Frontière Démilitarisée d'Asnaywana (CP-FDA) a mis fin à ses missions d'observation et a annoncé attendre les ordres de l'Association de Coopération Régionale pour l'Asnaywana, dont l'Union de Novgrad est garante ainsi que la Fédération-Unie et la République d'Ostaria.
L'Internationale a sollicité auprès du Chancelier de la Communauté la tenue d'un vote du Comité de Surveillance sur une résolution d'intervention contre l'Empire du Tawkirina.