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[Kashanistan] Agence de la Presse du Kashanistan (APK)

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Grand Suprême
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mar. 13 sept. 2022 09:57

12 septembre 205
Le Kashanistan prépare l'après-Aysa Bajwa


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Sitki Jalali, leader du Parti Traditionaliste, lors d’un discours de campagne fin août. - Image APK

Au pouvoir depuis 19 ans, la Première Ministre Aysa Bajwa (Parti Républicain-Progressiste) ne sera pas candidat à un cinquième mandat l’année prochaine, annonçant une course serrée lors des élections législatives.

Les adhérents du Parti Républicain-Progressiste et du Parti Traditionaliste, les partis dominants de la vie politique kashanistane, ont scellé à quelques jours d’intervalle le duel pour le poste de Premier Ministre qui se jouera lors des élections législatives d’octobre 206. 

D’abord, le 31 août, Sitki Jalali a été réélu à la tête du Parti Traditionaliste. À 64 ans, cet ancien joueur de hockey sur gazon, tentera d’obtenir le poste de Premier Ministre pour la seconde fois après son échec aux élections de 202. Sa ligne populiste avait fortement inquiété les électeurs qui avaient infligé à son parti une véritable débâcle. Les traditionalistes avaient alors perdu les élections pour 15 points au niveau national remporté seulement 47 sièges à l’Assemblée et perdu le contrôle du Sénat qu’ils détenaient de longue date. Alors élu au Sénat, Sitki Jalali est parvenu à se maintenir à la tête du parti en dépit de l’hostilité de nombreux élus. Sa ligne populiste et radicale, bien qu’elle ait repoussé les électeurs, restait fortement soutenue par les adhérents du mouvement. Résistant aux appels à la démission dans son camp, le chef de file de la droite a donc été formellement réélu pour un second mandat de président de parti fin août, avec plus de 72% des voix, devançant très nettement les deux députés de son camp qui avaient osé se présenter contre lui.

En face, c’est Danish Lodhra que les adhérents du Parti Républicain-Progressiste ont choisi pour mener la bataille, dimanche 11 septembre . À 65 ans, il a passé l’essentiel de sa vie à faire de la politique, d’abord comme conseiller de l’ombre puis comme Sénateur depuis les élections de 186. En 194, il devient Ministre de la Recherche et de l’Innovation avant d’être promu Ministre de l’Économie et du Budget en 198, poste qu’il occupe toujours. Par ses fonctions gouvernementales, il est devenu un proche de la Première Ministre Aysa Bajwa. Si cette-dernière s’est abstenue de lui apporter officiellement son soutien dans la course à la présidence du parti, son appui officieux semblait clair pour tout le parti, si bien qu’aucune figure majeure du parti n’a osé se présenter contre Danish Lodhra, laissant cette bataille à trois candidats sans mandat national et inconnu de la majorité du grand public.

Le casting étant connu, l’élection d’octobre 206 n’en reste pas moins très incertaine. Si la ligne populiste de Sitki Jalali reste un repoussoir pour de nombreux électeurs modérés, le départ d’Aysa Bajwa laisse un vide chez les républicain-progressistes. Leader de leur parti pendant 2 décennies, elle a fortement associé son image à celle du mouvement et son départ fait craindre à de nombreux élus une démobilisation de l’électorat féminin qu’elle avait largement su séduire pour devenir la première femme à diriger le gouvernement. Les jeunes électeurs et les femmes avaient constitué pour elle un solide socle électoral qu’elle a su conserver pour être réélue à quatre reprises. Beaucoup d’analystes estiment qu’un duel entre deux hommes sexagénaires ne sera pas de nature à les mobiliser lors de l’élection.

Depuis le début du mois, plusieurs sondages nationaux sont déjà parus, donnant pour le moment le PRP en avance d’une courte tête (1 à 3 points). Mais tous les cadres des deux partis savent que la majorité à l’Assemblée Parlementaire se jouera sûrement à quelques sièges et, donc, dans quelques districts particulièrement indécis. À un an des élections, deux candidats se font donc face pour le poste de Premier Ministre et le résultat décidera si l’ère post-Bajwa sera marquée de continuité ou de rupture.

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Grand Suprême
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dim. 2 oct. 2022 08:47

2 octobre 206
Sitki Jalali rafle la victoire de justesse


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Sitki Jalali, leader du Parti Traditionaliste, revendiquant la victoire au QG de son parti. - Image APK

À 65 ans et après une campagne résolument populiste, Sitki Jalali a remporté d’extrême justesse des élections législatives marquées par une abstention record. Il succèdera demain comme Premier Ministre à Aysa Bajwa, à la tête du pays depuis 20 ans.

Il aura fallu attendre un peu plus de 8 heures du matin pour connaître la composition finale de l’Assemblée Parlementaire du Kashanistan et donc, par extension, le nom du Premier Ministre qui sera nommé cet après-midi. Car si habituellement les premières estimations permettent de dégager clairement un vainqueur, ce n’était cette fois-ci par le cas et il a fallu attendre le décompte final dans quelques circonscriptions les plus serrées pour assurer le Parti Traditionaliste de remporter 101 sièges, contre 99 pour le Parti Républicain-Progressiste, qui perd donc la majorité après 20 ans de pouvoir sous le leadership d’Aysa Bajwa.

Hier soir, à la fermeture des bureaux de vote, les principales chaînes de télévision nationales annonçaient entre 104 et 109 sièges pour le PT, une prévision aussitôt célébrée par les partisans de Sitki Jalali, le Sénateur nationaliste et ancien joueur de hockey sur gazon qui avait perdu les élections avec plus de 15 points de retard il y a 4 ans mais qui obtient aujourd’hui sa revanche. Après une campagne résolument populiste, il obtient enfin sa victoire et deviendra Premier Ministre cet après-midi, nommé par le Président. Il a revendiqué sa victoire tôt hier soir, fort des estimations le donnant vainqueur.

La soirée aurait toutefois pu tourner au vinaigre alors que les résultats se resserraient considérablement et que les médias commençaient à émettre l’hypothèse d’une égalité à l’Assemblée Parlementaire, voire même d’une défaite du PT. Pour rappel, si le Sénat était quasiment certain de basculer dans le camp conservateur (ce qu’il a fait par 44 sièges à 36), c’est bien une majorité à l’Assemblée Parlementaire qui aurait été requise pour former un gouvernement. Face à l’indécision, le leader du PRP Danish Lodhra et Ministre de l’Économie et du Budget depuis 8 ans a gardé le silence toute la nuit. Il a finalement publié un communiqué peu avant 7 heures ce matin annonçant qu’il n’y avait pour lui plus de chemin possible vers une majorité pour son parti. Il devrait probablement s’exprimer au siège de son parti dans la journée, avant la nomination de son rival comme Premier Ministre.

Les analystes voient là des résultats conformes aux sondages qui annoncent depuis des mois une course extrêmement serrée. Si les derniers sondages créditaient le PT de 47% des voix et le PRP de 46%, les résultats furent même encore plus serrés avec 46,14% des suffrages reçus par le PRP et 46,71% pour le PT. Si les traditionalistes n’ont presque pas gagné de voix en quatre ans (seulement 300 000), le PRP a perdu presque 4 millions d’électeurs, essentiellement partis vers l’abstention (qui atteint un niveau record de 55,78%) ou vers des candidats non affiliés à l’un des deux partis. Comme l’avaient prédit de nombreux experts, l’électorat féminin et la jeunesse, fidèles à Aysa Bajwa, ne se sont pas autant mobilisés que lors des derniers élections, coutant la victoire à Danish Lodhra.

Une page politique de 20 ans se referme donc pour le Kashanistan alors qu’Aysa Bajwa quitte les affaires, laissant la place à un rival politique qu’elle avait largement défait 4 ans plus tôt. Avant elle, jamais personne n’avait dirigé le gouvernement pendant 5 mandats et aucune femme n’avait dirigé le pays. Son exemple a été, de l’avis de nombreux experts, un catalyseur important pour l’intégration des femmes dans la vie politique, et particulièrement dans son parti au sein duquel elle a toujours encouragé l’ascension de femmes.

Le Kashanistan fait donc un saut dans l’inconnu en confiant les clés du pays à l’ultra-nationaliste Sitki Jalali, élu avec une très faible avance (la majorité se joue même à 456 voix réparties dans deux districts) et dont la ligne populiste effraie encore des millions d’électeurs.

République du Kashanistan
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lun. 4 déc. 2023 13:02

4 décembre 220
Le Kashanistan s’enfonce dans une crise économique et social

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Élu il y a 2 ans, le Premier Ministre, Abbaad Mashud semble en grande difficulté dans sa gestion de la République du Kashanistan. Alors qu’en 218, le candidat du Parti Traditionaliste (PT) promettait l’ouverture du marché intérieur aux entreprises étrangères pour développer l’économie du pays, il semble désormais clair que cette décision n’a pas eu l’effet escompté par le Premier Ministre et son gouvernement. Le projet économique du Premier Ministre Mashud avait pourtant été présenté en grande pompe à l’Assemblée Parlementaire. Des investissements dans le secteur industriel et agricole devaient voir le jour et pourtant les chefs d'entreprises et les agriculteurs n’ont toujours pas vu l’ombre d’un Kasha dans leur compte en banque. Une situation qui a plongé le pays dans une situation économique sans précédent avec un doublement en seulement 2 ans du pourcentage de la population vivant sous le seuil de pauvreté. Des aides qui n’arrivent pas, des entreprises, des agriculteurs qui n’arrivent plus à faire face à la concurrence mondiale qui possède un droit d’entrée dans le pays de la part du gouvernement ont conduit les Kashanistans et les Kashanistanes à sortir dans la rue pour alerter le gouvernement sur la situation économique et social dans le pays. Toutefois, ces manifestations n’auront rencontré qu’une vaste répression policière soutenue par l’armée du Kashanistan.

Malgré ce première épisode de trouble économique et social, le Premier Ministre n’a pas pour autant décidé de ralentir ou même d’allonger l’agenda de ces réformes et a décidé cette semaine de toucher à ce qu’il considère comme l’ensemble des dispositions éthiques qui doivent régir la vie en société. Et il faut dire que l’agenda s’annonce charger avec un durcissement des lois à l’encontre des personnes homosexuels et un second durcissement des lois autour de l’avortement et de la contraception. Des réformes que le Parti Républicain-Progressiste (PRP) ne voit pas d’un bon œil et auxquelles ils comptent bien s’opposer avec force malgré leur absence de majorité à l’Assemblée Parlementaire comme au Sénat. Un Député nous glisse en off “On se dirige vers l’anarchie la plus totale avec ce genre de réformes”. La situation semble plus que jamais tendue au sein des institutions tandis que dans les rues le peuple s’enlise dans la pauvreté.

Une situation qui semble faire les affaires de certains groupuscules armés aux profils radicalement différents et aux revendications tout aussi hétéroclites. Le Front Socialiste (FS), groupe armé et historiquement en mouvement aux frontières avec le Sunyixian a selon les Services de Renseignement du Kashanistan (SRK) repris de l’activité dans plusieurs anciennes cellules dormantes et profiteraient d’une situation économique et social compliquée pour recruter de nouveaux membres. Néanmoins, l’organisation qui semble le plus alerté les SRK semblent être “L’Etat Eibadiste”. Un groupe armé revendiquant sa souveraineté sur une petite partie au nord de la frontière entre le Kashanistan et le Bukakhstan. défendant une foi Eibadiste radicale, il semble également profiter de la situation pour asseoir son discours extrême et faire adhérer de nouveaux combattants. Les SRK alertent néanmoins sur la présence de financement de puissances étrangères comme le Sunyixian dans le cas du Front Socialiste et du Bukakhstan dans le cas de l’Etat Eibadiste. Une situation qui dérange le Premier Ministre Mashud conscient que les pays de la région profitent de cette période de trouble pour déstabiliser le pouvoir en place et l’équilibre géopolitique de la région en raison de la proximité du Kashanistan avec les pays du monde libre. Pour l’heure, le Premier Ministre ne souhaite faire aucun commentaire sur les possibles financements étrangers de ces organisations et rappelle simplement que le gouvernement est engagé avec détermination pour anéantir tous ceux qui ont vocation à perturber l'État et les institutions.

République du Kashanistan
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mer. 6 déc. 2023 09:21

6 décembre 220
Le Premier Ministre est mort

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Alors que dans notre précédent article nous faisions état d’une dégradation du contexte économique et social. Il semblerait que la situation se soit dégradée davantage. En effet, le Premier Ministre a annoncé le 4 décembre 220 la mise en place d’un vaste plan de reconstruction de l’économie du Kashanistan à la suite de la crise qu’il a lui-même provoquée selon ces détracteurs. Parmi les mesures présentées dans ce vaste plan de reconstruction, nous pouvons constater un très grand nombre de mesures visant à libéraliser les marchés intérieurs comme extérieurs du Kashanistan. Une décision qui s’inscrit dans la droite ligne de ce qui avait déjà été fait lors des premières années de sa mandature. Selon Abbaad Mashud, ce plan visait à faire de la République du Kashanistan la première puissance économique et industrielle de la Cathésie en 250. Un objectif ambitieux quand on connait la concurrence déjà féroce sur ce continent.

Néanmoins, les seuls gagnants de ces mesures de libéralisation des marchés seront les entrepreneurs au dépend des travailleurs Kashanistans. En effet, le plan de reconstruction implique de nouvelles régressions sociales avec la fin d’un salaire minimum, la fin de l’interdiction du travail des enfants et une augmentation de la durée minimum légale de travail. Des mesures de fortes régressions sociales qui n’ont pas manqué de faire réagir des travailleurs et des travailleuses déjà excédés par une situation économique et social tendue dans le pays. Il n’en fallait pas moins pour que seulement quelques heures après ces annonces par le Premier Ministre, une vaste foule puisse se rassembler sur l’une des plus grandes places de Mushestan, la capitale du Kashanistan. Les revendications sociales se sont mélangées à un refus complet de ce nouveau plus de reconstruction économique. Un manifestant nous explique “Je suis venu pour dire à Mashud qu’on est pas des animaux. On en peut plus de bosser comme des dingues pour même plus arriver à se payer un morceau de pain.”. Partout, les mêmes commentaires reviennent. L’inflation, les conditions de travail qui se sont fortement dégradées et la recrudescence des groupes armés ont conduit plus de 250 000 manifestants dans les rues en scandant à l’unisson leur volonté de voir Abbaad Mashud démissionné et l’organisation de nouvelles élections.

Rapidement placée sous haute surveillance par les Services des Renseignements du Kashanistan étant donné le risque d’embrasement, un vaste dispositif de police et de cargaison militaire se sont déployés sur la grande place afin de garantir officiellement la sécurité des manifestants et officieusement les empêcher d’accéder aux lieux de pouvoir. C’est aux alentours de 21 heures hier soir que Abbaad Mashud sera finalement aperçu non loin de la grande place malgré les injonctions de ses conseillers et de l’armée de se rendre sur place. Le Premier Ministre avait selon des sources gouvernementales l’envie de jouer la carte de l’apaisement en allant au contact de la population pour échanger et faire de la pédagogie. Une attitude dangereuse et unique selon ces proches et ces conseillers qui auront jusqu’au bout tenter de le dissuader de sortir au contact des manifestants. Après seulement quelques minutes en dehors de sa voiture de sécurité, la foule commença à scander “Mashud dégage !”. Cela n’a pas pour autant empêché le Premier Ministre de s’approcher de certains manifestants pour tenter d’échanger avec eux. Après plusieurs minutes d’échanges tendues entre quelques manifestants et le Premier Ministre, plusieurs détonations se font entendre sur la place. Immédiatement en état d’alerte maximale, l’armée ainsi que la police déjà présente sur place ont déployé un vaste périmètre de sécurité pour la grande place. Néanmoins, le mal semblait fait et rien ne pouvait changer les choses. Après la dispersion de la fumée provoquée par ces explosions, c’est une place macabre qui s’offrait en spectacle aux manifestants ayant survécu, aux forces armées et aux forces de polices. Ce ne sont que quelques minutes après les détonations que les secours se sont présentés sur place pour tenter de sauver le Premier Ministre Mashud présent dans le périmètre d’un des trois kamikazes. A la suite de nombreuses minutes pour tenter de la réanimer, les équipes de secours ont dû déclarer le décès du Premier Ministre Mashud. Pour le moment, aucun décompte officiel des victimes de cet attentat n’a pu être fait par les secours et les forces de l’ordre.

Plusieurs questions demeurent à la suite de cet attentat. Qui se cache derrière celui-ci ? La mort du Premier Ministre est-elle une mort collatérale ou bien était-elle prévue par les kamikazes ? Pour l’heure il n’y que très peu de réponses de la part des autorités et des SRK qui tentent d’analyser les premières données récoltées sur la grande place. Malgré cette absence de réponses, l’Etat Eibadiste tout le Front Socialiste ont tout deux revendiqués cette attaque et se sont félicités de mettre un terme au règne du capitalisme selon le Front Socialiste tandis que l’Etat Eibadiste revendique une victoire sur un Etat corrompu et infidèle aux lois de la foi Eibadiste. Pour l’heure, il est impossible de déterminer avec certitude lequel de ces deux groupes a bel et bien provoqué cette attaque. Une seule chose est sûr, l’instabilité est plus que jamais présente dans la République du Kashanistan qui va devoir prochainement nommer un nouveau Premier Ministre pour gouverner le pays et le remettre sur le chemin de la paix et de la stabilité.

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