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[Brèves de guerre] Conflit entre Oxanna et Graznavia, les Trois Nations, Ostaria et le Saphyr

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Mogwai
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lun. 27 juin 2022 13:22

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27 juin 202
Percée sur Stenrešić


Alors que l'armée oxanne a rencontré un sérieux revers à l'Ouest, les troupes oxannes en Graznavia tentent de briser le front en leur faveur face aux graznaviens et aux ostariens.

Des deux côtés, le front graznavien a été particulièrement sanglant même si stratégiquement calme au cours des derniers mois : des troupes conscrites de plus en plus nombreuses venaient remplacer les soldats perdus lors des escarmouches qui ont lieu très régulièrement sur le front. Alors qu'Oxanna essaye tant bien que mal d'occuper près de la moitié de Graznavia, le manque d'expériences des nouvelles troupes déployées a affaibli les capacités stratégiques des deux côtés.

Toutefois, avec l'urgence du renversement du front à l'Ouest, les oxannes ont repris l'offensive sur le front graznavien, en lançant une attaque contre une partie plus affaiblie de la ligne de défense graznavienne.
L'attaque a été menée par près de 16107 soldats oxannes, contre les 5498 soldats graznaviens présents au niveau de la frontière fédérale entre la Gramordie et la Vysenie. L'attaque a été un succès oxanne, qui a pu ainsi percer sur cette partie du front, et menace à la fois de couper en deux le front graznavien, isolant les troupes coalisés à l'Est du reste du pays, et menant à un encerclement partiel de Stenrešić, la capitale de la Gramordie. Les moins de 3000 troupes graznaviennes qui ont survécu à l'assaut ont dû se replier à l'Ouest, affaiblissant encore les effectifs de l'autre côté de la partie gramordienne du front.

Les dégâts ont été importants sur le front, mais encore difficile à estimer au vu des combats intenses qui y ont eu lieu tout le long de ces 3 dernières années.
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Mogwai
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sam. 30 juil. 2022 19:15

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30 juillet 203
Rupture du front gramordien


A l'issue de plusieurs mois de combats acharnés, Oxanna prend Stenrešić et repousse les coalisés jusqu'au littoral.

Un des enjeux stratégiques de la campagne de Graznavia a été atteint par les forces oxannes aujourd'hui, lorsque près de 40 000 troupes oxannes ont attaqués les 30 000 forces coalisées au sud de la Gramordie, à Stenrešić défendue par les conscrits graznaviens, ainsi que sur l'axe autoroutier vers Novipogoren, tenu par les forces armées ostariennes.

Les combats ont été extrêmement brutaux et ont impliqués une partie de l'aviation oxanne qui a bombardé les positions notamment ostariennes - ceux-ci étant supérieurs en nombre - mais celle-ci a été interceptés par l'aviation graznavienne, laquelle a obtenu des renforts matériels de l'Union de Novgrad. Ce qui n'a toutefois pas empêché l'artillerie et les troupes oxannes de couper la ligne de ravitaillement entre les troupes coalisées situées en Vysenie et à l'Ouest, et celles situées en Gramordie.

Après des semaines parfois calmes et parfois intenses, la dernière offensive, menée depuis avant-hier, a conduit les oxannes à repousser les ostariens et les graznaviens hors de Stenrešić et sa périphérie, ouvrant la route du sud pour les troupes oxannes.

Les Oxannes récupèrent ainsi l'accès au littoral. Même s'ils n'en ont pas l'utilité au vue de la dévastation de sa flotte, ceux-ci parviennent néanmoins à assurer la rupture du front, isolant les troupes graznaviennes et ostariennes dans une poche en Gramordie, séparés du gros du front ostaro-saphyro-graznavien à l'Ouest.
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Mogwai
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dim. 31 juil. 2022 11:59

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31 juillet 203
Offensive Løveangrep


La Légion Expéditionnaire saphyrienne a poursuivi son offensive vers la capitale oxanne, capturant la ville de Piesny et décimant le front Ouest, mais ne parvenant pas à avancer suffisamment vers Maniag.

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Mogwai
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mer. 17 août 2022 07:28

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17 août 204
CAPITULATION DE LA SAINTE AUTORITÉ D'OXANNA

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Soldats ostariens assistant les troupes graznaviennes - Appareils de la Force de l'Air saphyrienne
Artillerie trianienne près d'Opomza - Marines fédérés emprisonnant des militaires oxannes


Après une année qui a vu des offensives décisives se jouer après l'entrée dans le conflit des États de Kodera, de la Fédération-Unie, de la République fédérale d'Edelweiss, du Royaume de Lysennie et de l'Union de Novgrad, les derniers commandants militaires encore en opération de la Sainte-Autorité d'Oxanna ont présenté ce matin à 4h37 la capitulation inconditionnelle de leurs forces aux coalisés.

La capitulation annoncée depuis près de 4 heures dans tout le pays, les dernières poches de résistance de l'armée oxanne mettent fin aux combats un peu partout sur le territoire.
La nouvelle a été accueillie avec soulagement dans tout le pays, dans les camps de réfugiés implantés un peu partout en Phoécie orientale et dans les grandes villes des pays voisins et ceux impliqués dans la guerre.
La guerre a vu ses instants décisifs se jouer au cours de l'année passée, alors que l'élan international contre la Sainte-Autorité d'Oxanna a précipité la chute du régime théocratique, qui paraissait inévitable après la découverte des actes de génocide commis sur son territoire.

- La Campagne du Lac Rose a vu les troupes phoéciennes et novgradoises déferler sur le Nord-Ouest oxanne.

Alors que les premières troupes lysenniennes et edelweissiennes ont pu franchir la frontière et rejoindre rapidement le niveau du front saphyrien, la Bataille de Mismin fut le premier faits d'armes marquant de cette campagne. Avec près de 45 000 soldats lysenniens contre 40 000 soldats oxannes, c'est la qualité de l'équipement et le haut moral des troupes qui fut déterminant dans une bataille qui a vu les oxannes perdre près de 25 000 de leurs combattants, tandis que les alliés phoéciens en perdaient moins de 5 000. Il aura toutefois fallu attendre les dernières offensives vers l'Est pour que les dernières troupes présentes capitulent entièrement, laissant le loisir aux phoéciens d'étendre leur zone d'occupation vers l'Est, tandis que leurs troupes rencontraient celles de l'Union de Novgrad.

Dans le même temps, au Nord, les novgradois ont lancé une offensive massive sur les régions de Rossoksary et d'Hlolytsinie avant de conquérir ces villes au cours de combats qui auraient pu être acharnés si les raids aériens intenses des Ailes Rouges n'avaient pas donné un avantage conséquent à l'Armée Rouge. Finalement, Oxanna y perdit près de 45 000 soldats, tandis que les pertes novgradoises s'élevaient à près de 10 000 combattants.
Les troupes novgradoises rencontrèrent le front phoécien à quelques dizaines de kilomètres au sud de Rossoksary, désormais occupés par la Garde Soviétique de la République Populaire d'Arzoum. Un autre contingent soviétique a lui poussé vers le Nord-Est, rencontrant les zones occupés par les Trois Nations, et parvenant à conquérir davantage de territoires sans rencontrer de vraies résistances, le gros des combats sur le front trianien ayant lieu bien plus au Sud.

- Une avancée importante de la République des Trois Nations, malgré de très lourdes pertes

Le front Nord-Est de la guerre a vu près de 250 000 hommes se battrent rien que cette année dans des conditions terribles et sous le feu nourri de l'aviation trianienne, malgré les résistances de ce qu'il restait des forces aériennes oxannes dans la région. Mais la nette supériorité de feu de l'aviation des Trois Nations a assuré la victoire au camp coalisé sur ce théâtre du conflit, alors que les troupes trianiennes, épuisées par 6 années de combat, peinaient à avancer davantage.

Après avoir achevé la prise des alentours d'Auctoria, Barbenis et la ville tant convoitée d'Opomza, les troupes trianiennes n'ont plus eu qu'à briser les dernières lignes oxannes près de Skakoya, ce qui a été fait avec le soutien des troupes Abandonnée rapidement par le commandement militaire oxanne de l'Est qui fuyait vers les montagnes, la ville a ouvert ses portes sans condition devant l'avancée des troupes trianiennes, permettant aux troupes oxannes un bref répit dans les montagnes avant de rencontrer au Nord l'avancée des troupes soviétiques et au Sud, l'avancée du reste des coalisés.
Près de 50 000 oxannes y auraient disparus, mais les Trois Nations de leur côté ont annoncé la perte de près de 18 000 de leurs soldats, sur les 147 000 mobilisés sur ce front depuis le début de l'année 203.

- Une percée inattendue de Kodera sur les plages du Sud d'Opomza jusqu'à Luný

L'un des éléments qui a le plus provoqué la surprise chez les oxannes aura définitivement été l'arrivée de près de 50 000 koderiens sur leur sol, débarqués sur la côte Sud d'Opomza sous blocus presque depuis le début de la guerre. Ceux-ci ont fait face à la résistance acharnée du peu de soldats n'ayant pas encore été mobilisé sur le front graznavien au Sud, laquelle a été rapidement surmontée. Les troupes koderiennes sont entrées sans encombre dans la grande métropole de Luný et ont pu commencer à revendiquer les montagnes et campagnes alentours, tandis que ce revers garantissait le recul des troupes oxannes du territoire de Graznavia.

- Un effort multinational pour libérer Graznavia dans la grande contre-offensive de Novipogoren

C'est à Novipogoren que s'était regroupé le gros des états-majors conjoints pour le front graznavien, regroupant les commandants graznaviens, des commandants du corps expéditionnaire ostarien, des agents de liaison trianiens, saphyriens et fédérés, et enfin koderiens, assurant le coordination des forces engagées dans la libération du territoire oxanne.
En Gramordie, cette libération signifiait des efforts conséquents pour les quelques 16 000 graznaviens et 14 000 ostariens coupés du réseau de ravitaillement de Vysenie depuis près de 2 ans, qui ont dû combattre de manière acharnée pour retrouver un contact terrestre avec les troupes ostariennes et graznaviennes à l'Ouest. Près de 10 000 soldats coalisés y perdirent la vie, pour un peu moins de 15 000 soldats oxannes perdus, représentant une des batailles les plus incertaines de cette campagne. Mais la victoire qui s'en est suivie s'est avérée décisive pour le moment le plus crucial de ce volet et peut-être de tout le conflit, la grande contre-offensive pilotée depuis Novipogoren.

Celle-ci a vu 120 000 soldats coalisés combattre les 100 000 soldats oxannes de la région. Malgré une supériorité numérique terrestre importante, la présence écrasante de l'aviation militaire oxanne dans la région face à une aviation graznavienne et à une force aérienne ostarienne insuffisantes en nombre rendait l'issue de la bataille pour la libération des graznaviens très incertaine. Mais la levée de "l'armée de l'intérieur", c'est à dire la Résistance territoriale (une branche des forces armées graznaviennes spécialisée dans les opérations paramilitaires en territoires occupés) ont fourni un appui précieux derrière les lignes de front qui ont permis de consacrer l'avancée des alliés vers Ivantina, bientôt encerclée et libérée.

Un autre moment crucial de la campagne fut la rencontre des soldats ostariens et graznaviens avec les soldats saphyriens, les marines fédérés et les deux régiments de la Garde de l'Empereur du Saphyr, dans une offensive majeure entre Droresti et le Beloxanna pour encercler et repousser les derniers régiments oxannes. L'effort conjoint et la concentration de troupes d'élite y ont permis aux 16 000 soldats, presque deux fois inférieures en nombre, de battre et vaincre près de 30 000 soldats oxannes dans la région, achevant la libération du territoire graznavien dans ce qui est déjà appelé dans les médias de guerre la "Bataille des Nations" tandis que la dernière campagne pour la victoire des coalisés se jouaient au Nord, vers Maniag, la capitale.

- Le drapeau saphyrien élevé sur Maniag

Cible de guerre conséquente même si elle n'était pas dans les objectifs de conquête de la plupart des pays belligérants, la capitale de Maniag a été le théâtre d'évènements étranges, symptômes d'une guerre qui était assurément perdue pour les oxannes. Les allers et retours de l'aviation oxanne vers les théâtres de conflit à l'Ouest et au Sud ; les alertes aux bombardements réguliers, les blackouts pour échapper à la vigilance des bombardiers coalisés d'après les autorités, mais vraisemblablement liées aux coupures de courant ; le rationnement mis en place en toute hâte alors que les chaînes de ravitaillement des populations civiles s'effondrait ; les incendies de bureaux ministériels qui ne voyaient l'intervention d'aucune force de pompiers et ayant dégénéré dans au moins deux quartiers ; au milieu des ruines des districts ravagés par les bombardements, des bidonvilles et camps de réfugiés improvisés. Et finalement, les tentatives désorganisées d'évacuation des dernières troupes oxannes, alors que le coeur administratif de la cité était encore peuplé des élites du régime théocratique oxanne.
Les rumeurs de la mort par suicide de la Matriarche et du Chancelier de la Sainte-Autorité enflaient, alors que les légionnaires saphyriens, menés par les gardes impériaux, avançaient dans une capitale vidée de sa population, en proie à des combats urbains éparses qui ont duré dans la ville pendant des mois.
Mais tandis qu'une dernière offensive saphyrienne depuis Piesny avait définitivement privé la voie à tout renfort oxanne venu du Nord, la situation s'est rapidement dégradé, et les 35 000 soldats oxannes, épuisés par le conflit, sans plus aucun ravitaillement, faisant face à des avancées des Koderiens, des Trianiens, des Marines fédérés puis bientôt des Graznaviens et Ostariens dans les montagnes entourant la capitale, ont capitulé après de nombreuses défaites contre près de 22 000 soldats saphyriens, qui, bien qu'en nombre insuffisants, ont bénéficié de l'appui aérien le plus conséquent de tout le conflit, avec près de 120 chasseurs à réaction et 80 bombardiers impliqués dans la conquête de la capitale.

La capitulation totale et sans condition des Saintes Forces Armées d'Oxanna a été signée à 4h37 le 17 août 204 par le Maréchal Stanislaŭ Koravchuk, à 37 km au Nord-Est de Maniag, en présence du Brigadier-général Wyatt Coleman pour la Fédération-Unie, du Colonel-Divisionnaire Jacob Gartner pour le Saphyr, du Général Charles Reis pour Ostaria, de la Générale Zuzana Bartková pour les Trois Nations et du Commandant Ivan Šaponjić pour Graznavia.

L'un des chapitres les plus meurtriers de l'histoire de la Phoécie orientale s'achève ainsi. Si la guerre en elle-même fut déjà immensément coûteuse en vies humaines, le bilan humanitaire de la guerre d'Oxanna, lui, est catastrophique : plusieurs millions de civils tués pendant toute la durée du conflit, entre 15 et 20 millions de réfugiés de guerre disséminés un peu partout en Phoécie orientale et saturant l'accueil dans l'Union Phoécienne, et bien sûr, le génocide, dont déjà près de 800 000 personnes, des civils vyseniens et gramordiens ainsi que des prisonniers de guerre trianiens, ostariens et saphyriens, ont été comptés comme déportées, et près de 350 000 tués dans un effort méthodique du régime oxanne pour exterminer ses ennemis, aussi bien combattants que parfaits innocents.

L'horreur du génocide a suscité un élan de méfiance vis-à-vis des réfugiés de guerre, essentiellement oxannes, qui ont subi divers incidents violents un peu partout dans les camps de réfugiés et villes où ceux-ci sont accueillis. À Ujszàbony, capitale de la République des Trois Nations, le mois passé a vu de nombreux affrontements entre des communautés de réfugiés graznaviens ayant échappé au génocide et des réfugiés oxannes ayant fuit le conflit ou le régime oxanne. Ailleurs, notamment en Lysennie, en Norsfallen et en République Constantine, la défiance généralisée envers les réfugiés oxannes a suscité diverses attaques à connotation raciste contre des membres de la diaspora oxanne mais aussi graznavienne, confondu parmi ceux-ci. Et même s'il n'y a officiellement eu aucun incident de ce genre en Union de Novgrad, des violences ont été rapportés entre des communautés ethniques dans les grandes villes du Sud.
Le nouveau chapitre qui s'ouvre, celui de la reconstruction d'une Oxanne ravagée par le conflit et d'un Orient meurtri par les guerres, de la justice pour les victimes des horreurs perpétrés par les oxannes, et d'une réconciliation sans aucun doute difficile, peut-être impossible, entre les peuples orientaux, risque bien d'être un moment décisif dans l'histoire de la Phoécie, de l'Orient et du monde, dont dépendront les enjeux régionaux et internationaux du siècle qui s'ouvre.
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