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[Hirana] La Tribune

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mar. 14 sept. 2021 15:06

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La Tribune est le quotidien hiranais le plus vendu du pays. Indépendant politiquement, il est créé par trois jeunes journalistes d’Acton en 96 et s’impose vite comme un quotidien incontournable localement. En 134, sa diffusion s’étend au reste du pays et connaît là encore un succès plutôt important. Après les deux premières années de la junte militaire, le journal cesse de paraître, et ce jusqu’au rétablissement de la démocratie. Il est chaque année et sans discontinuer le journal quotidien le plus vendu depuis 164.

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mer. 15 sept. 2021 16:24

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Élections législatives, J-7 : débat tendu à trois

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Le socialiste Dimitri Cortot lors du débat des trois principaux candidats.

  • Le fait du jour

Deux semaines après un premier débat qui avait réuni les chefs des sept partis du pays, les leaders des trois principaux partis se sont retrouvés pour un nouveau débat, à une semaine des élections législatives. Les candidats se sont exprimés devant 2,1 millions de téléspectateurs, un record absolu pour une émission politique en Hirana. À titre de comparaison, il y a deux semaines, le débat des sept candidats n’avait réuni que 800 000 personnes. Et ces très nombreux spectateurs ont assisté à un match d’une rare violence qui contraste avec le début de campagne très policé, et ce particulièrement entre le socialiste Dimitri Cortot et la conservatrice Barbara Pélissier, qui font la course en tête dans les sondages et se disputent la place de Chef du Gouvernement.

Au milieu, le chef centriste Grégoire Gaubert n’a pas vraiment réussi à se hisser au premier plan. Désormais trop loin dans les sondages pour espérer la victoire, ce-dernier a voulu jouer la carte de la modération face à des rivaux agressifs entre eux, au risque d’apparaître comme complètement invisible. De plus, le centriste n’a pas vraiment réussi à se démarquer de sa rivale conservatrice sur les questions économiques. Leurs partis respectifs ayant siégé dans le même gouvernement sous Charles Laroche ces quatre dernières années, chacun a essayé de récupérer le bilan économique du conservateur sortant, non-candidat à sa réélection.

Et c’est précisément sur l’économie que le socialiste Dimitri Cortot a été le plus virulent. Évoquant le passage en force du gouvernement Laroche sur la réforme du droit du travail en 191 malgré un vaste mouvement social, le socialiste a critiqué la « brutalité, tant sur la forme que sur le fond » du programme économique de sa concurrente conservatrice. Son adversaire lui a en retour reproché de choisir « des solutions de facilité » et « le retour des années en arrière ». Sur l’éducation, le socialiste s’est également présenté comme le « candidat des professeurs », faisant référence aux réformes avortées du gouvernement Laroche les concernant et contre lesquelles les organisations syndicales étaient déjà vent debout. Barbara Pélissier lui a reproché de « perdre complètement de vue la performance du système éducatif » en se positionnant ainsi.

De ce match presque à deux, aucun gagnant ne ressort vraiment. Selon un sondage réalisé par Hiranews qui accueillait le débat, 41% des sondés ont trouvé le socialiste plus convaincant, à peine devant Barbara Pélissier (39%) et loin devant Grégoire Gaubert (12%). Par sa posture en retrait, le centriste s’est au moins s’attiré la sympathie du public, lui qui a été désigné candidat le plus sympathique par 48% des sondés, très loin devant ses rivaux conservateur (22%) et socialiste (19%). Preuve de l’agressivité du débat, à la question « Jugez-vous que le débat a été de bonne tenue ? », 61% des téléspectateurs ont répondu « non », quand seulement 33% ont répondu « oui ». De quoi avoir un grand impact sur la participation ? La politologue Céline Urgault, de l’Université d’Hiran, juge au contraire que « chaque candidat a mobilisé sa base en s’attaquant violemment à l’autre ».

  • Le sondage du jour

Dans un sondage sorti hier (avant le débat), les conservateurs et les socialistes restent nettement aux commandes de ces élections. Avec 31% des intentions de vote, les conservateurs conservent leur place de leader, juste devant les socialistes qui sont crédités de 29%. La victoire paraît maintenant impossible pour les centristes qui, à une semaine de scrutin, ne sont qu’à 23%. Loin derrière, les quatre nouveaux partis autorisés sous Charles Laroche se tiennent tous entre 3 et 5%. Le Mouvement Travailliste et le Parti Populaire sont à 5%, le Parti Démocrate est à 4% et le Mouvement Écologiste est à 3%.

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jeu. 16 sept. 2021 16:57

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Élections législatives, J-6 : Grégoire Gaubert, l'espoir déçu

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Le chef du Parti Libéral-Progressiste, le centriste Grégoire Gaubert.

  • Le fait du jour

Il y a deux mois, le 1er juillet, Grégoire Gaubert remportait l’élection à la chefferie du Parti Libéral-Progressiste. Il prenait alors les rênes du parti centriste, deuxième groupe politique à la Chambre, et allié du conservateur Charles Laroche qui n’était pas candidat à cette élection. Déjà alors, il prenait la tête d’un parti donné bon troisième des élections légsialtives, devancé par les deux autres grands mouvements : les leaders conservateurs de la coalition et les leaders socialistes de l’opposition. Et alors, il apparaissait déjà joué que, quel que soit le vainqueur des législatives, ce serait à lui de jouer les faiseurs de roi et de trancher entre les deux grands partis. Nombreux journalistes lui demandaient alors presque chaque jour « Qui sera le prochain chef du gouvernement ? », espérant voir le candidat choisir son camp entre Dimitri Cortot et Barbara Pélissier. Sa réponse simple « Moi ! » a d’abord été largement moquée mais a généré derrière ce candidat un fort élan de sympathie et l’avait replacé dans la course au niveau de ses deux rivaux, quelques sondages l’ayant brièvement vu en tête à la mi-juillet.

Mais la campagne est passée par là. Certes charismatiques, le centriste n’a pas vraiment réussi à convaincre le plus grand nombre qu’il pouvait devenir chef du gouvernement. Fin juillet, un sondage demandait aux sondés si ils pensaient que les différents candidats avaient une chance de prendre la tête du gouvernement. 91% le pensaient pour la conservatrice, 85% pour son adversaire socialiste et seulement 54% le pensaient pour lui. Son parti restait considéré comme la force d’appoint qui apportait son soutien, peut-être à prix fort, à un parti ou à l’autre, mais pas comme une force qui pouvait emmener une coalition. Dès-lors, pour beaucoup de modérés, de droite comme de gauche, pourquoi voter pour un parti qui ne dirigera pas de coalition ? C’est devenu, à droite comme à gauche, un vrai argument de campagne pour convaincre les modérés : en votant pour les centristes, vous prenez le risque de le voir soutenir un parti avec lequel vous êtes en profond désaccord. Certains modérés manquent donc clairement au parti centriste, expliquant le net recul des centristes dans les sondages depuis le point culminant de la mi-juillet.

Et alors que l’aile droite de son parti le pressait de dire en public qu’il préférait reconduire la coalition sortante plutôt que de s’allier avec les socialistes, Grégoire Gaubert a voulu rester droit dans ses bottes répétant « être candidat au poste de chef du gouvernement ». Les électeurs de centre-droit lui reprochent de ne pas exclure une coalition à gauche et les électeurs de centre-gauche reprochent leur soutien à la réforme du droit du travail de 191, impulsée par le gouvernement Laroche.

Alors maintenant, le candidat centriste multiplie les déplacements pour essayer au moins d’arrêter la trajectoire descendante dans les sondages de son parti. Car beaucoup d’observateurs le disent : si les centristes sont distancés très nettement, rien ne garantit qu’ils apparaissent aux prochaines élections comme vraiment plus forts que les autres partis secondaires qui ne dépassent pas les 5% dans les sondages cette année. Plusieurs cadres du parti espèrent encore une bonne fin de campagne, notamment auprès des électeurs indécis, pour atteindre les 25%, et remporter au moins une métropole, celle de Lundy étant la plus accessible.

  • Le sondage du jour

Dans le dernier sondage, réalisé après le débat tendu à trois de mardi soir, les socialistes et conservateurs se partagent la tête de la course avec chacun 31% des voix. Plus que jamais, ce qui était un match à trois en début de campagne confirme être devenu un duel, surtout compte tenu de la nouvelle chute des centristes, qui passent de 23% à 21%, avec donc un retard de 10 points sur les leaders. Derrière, les petits partis restent stables par rapport aux précédents sondages. Également réalisé au niveau local, cette estimation donne les socialistes à 115 sièges, les conservateurs à 110 et les centristes à 50.

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mer. 22 sept. 2021 19:03

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Législatives : Barbara Pélissier s'impose, place aux négociations

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La chef du Parti Conservateur-Libéral, Barbara Pélissier, arrivée en tête des élections législatives.

La conservatrice Barbara Pélissier est arrivée en tête des élections législatives avec près de 3 points d’avance sur son rival socialiste. Mais ce dernier peut encore espérer diriger le prochain gouvernement.

Après le difficile temps de la campagne, les chefs de partis vont donc maintenant entrer dans le temps pas plus aisé de la négociation en vue de la formation d’un nouveau gouvernement. Les hiranais ont maintenant rendu leur verdict et la suite n’est plus vraiment de leur ressort.

À 42 ans, une favorite se détache pour le poste de Chef du Gouvernement. Il s’agit de la conservatrice Barbara Pélissier qui, avec 34% des voix, a remporté 122 des 301 sièges de la Chambre des Députés. Bien que les conservateurs perdent 15 sièges, ils restent le premier parti du pays. Derrière, les socialistes gagnent à peine un point par rapport aux précédentes élections en totalisant 31,5% des voix. Avec 96 sièges, ils sont toutefois en forte augmentation (13 sièges) et, bien qu’il ne soit pas en tête, leur leader Dimitri Cortot conserve ses chances.

Et en premier lieu, ce sont les centristes qui essuient un échec retentissant. Avec 17,7% des voix, ils perdent 13 points par rapport aux dernières élections et, surtout, ne totalisent que 43 sièges (soit une perte de 38 députés). Un temps donné largement dans la course à la tête du gouvernement, le chef centriste Grégoire Gaubert n’a finalement pas su apparaître comme un candidat crédible. Après 4 ans dans la coalition gouvernementale, le parti n’est pas apparu comme une alternative crédible. Même si ils devraient sans aucun doute siéger dans le prochain gouvernement, quel qu’il soit, les centristes ont clairement leur avenir remis en cause, beaucoup craignant que le parti ne rejoigne les rangs des partis nouvellement créés et arrivés aux dernières places de ce scrutin.

Parmi ces quatre nouveaux partis, ce sont les nationalistes du Parti Populaire qui réalisent le meilleur score (5,6% - 13 sièges), suivis du Parti Démocrate de centre-gauche (4,1% - 10 sièges), puis du Mouvement Travailliste (3,7% - 9 sièges) et enfin du Mouvement Écologiste (3,4% - 8 sièges).

S’ouvre maintenant le temps presque plus complexe des négociations entre les formations politiques. Il n’y a en réalité que deux grandes hypothèses. Dans le premier scénario, la majorité sortante de centre-droit est reconduite. Barbara Pélissier succédera alors à son collègue du PLC Charles Laroche à la tête du gouvernement dont la majorité serait certes restreinte mais toujours présente. Même s cette alliance aurait pour les centristes le mérite de la cohérence, ces-derniers auraient énormément de mal à peser dans cette coalition face aux conservateurs et reste quand même le grand perdant de la précédente législature par son score. En ce sens, reconduire la coalition inquiète déjà des cadres centristes.

Il existe l’autre option, celle d’un gouvernement emmené par le leader socialiste Dimitri Cortot. Les socialistes devraient pour cela s’allier aux centristes, mais aussi avec le Parti Démocrate (centre-gauche) qui avait milité toute la campagne pour cette alliance. Ce trio atteindrait seulement 149 sièges, soit deux de moins que la majorité. Mais éventuellement soutenu par le Mouvement Écologiste, un tel gouvernement serait majoritaire et, même minoritaire, il pourrait probablement être nommé. Une telle coalition permettrait aux centristes de se renouveler après un mandat aux côtés des conservateurs, mais pourrait être compliquée à mettre en place, surtout sur la question du travail. Et surtout, une telle coalition n’aurait pas l’avantage de la stabilité présenté par la coalition sortante.

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jeu. 23 sept. 2021 19:42

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Élections législatives, J+1 : Dimitri Cortot emporte les négociations

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Le socialiste Dimitri Cortot (gauche) et le centriste Grégoire Gaubert en début de soirée.

Après avoir reçu et examiné les propositions des deux grands partis vainqueurs des législatives, les députés centristes ont choisi de former une coalition de centre-gauche derrière le socialiste Dimitri Cortot.

La salle de presse dans laquelle le centriste Grégoire Gaubert avait prévu de s’exprimer à 18 heures était bien pleine, même deux heures avant le début de l’intervention du candidat malheureux à la tête du gouvernement. Le futur politique hiranais reposant sur le choix de son parti, soit de poursuivre sa coalition avec les conservateurs, soit de changer de cap en soutenant les socialistes.

Plusieurs médias ont fait état en fin de matinée de négociations terminées, annonçant que le chef de parti allait demander aux nouveaux députés de voter pour choisir quelle solution choisir, au regard des garanties offertes par chacune des deux grandes formations. L’entourage de Grégoire Gaubert a longtemps tardé à confirmer la programmation d’une telle réunion des nouveaux députés centristes. Entamée à 16 heures, cette-dernière s’est finalement éternisé, des participants faisant état de débats « intenses et houleux » sur le futur du parti.

Avec plus d’une heure de retard, le chef des centristes a donc finalement fait son apparition devant la presse au QG de son parti pour annoncer le choix fait par les députés centristes. Les 43 nouveaux élus avaient donc trois choix, soit d’accepter la proposition formulée par les socialistes de Dimitri Cortot, soit d’accepter celle de la conservatrice Barbara Pélissier, soit de repousser ces offres et demander une réouverture des négociations. D’après le décompte annoncé par le chef du parti, 7 députés ont souhaité repousser les deux offres, quand 17 ont soutenu la proposition conservatrice et quand 19 ont choisi de soutenir les socialistes. Sur le fil donc, c’est la coalition de centre-gauche qui a été choisie et validée par les députés centristes. Les différentes rédactions du pays ont contacté presque tous les députés centristes et tous disaient se rallier à l’opinion majoritairement choisie.

Vers 20 heures, les chefs centristes et socialistes se sont retrouvés à proximité du Parlement, devant les photographes pour immortaliser leur nouvelle alliance. Le Président de la République, Jean-Paul Rouxel a nommé vers 21 heures Dimitri Cortot au poste de Chef du Gouvernement, même si la composition finale du gouvernement attendra au moins demain. De fait, la répartition des postes et la feuille de route restent inconnus du grand public à l’heure actuelle.

La gouvernement devrait en tout cas se composer du Parti Socialiste Démocratique et du Parti Libéral-Progressiste. Le Parti Démocrate, qui avait fait campagne en promettant de soutenir cette union, ne devrait pas avoir de poste au gouvernement même si certaines rumeurs font état de la Présidence (ou de la Vice-Présidence) de la Chambre pour son chef. Pour atteindre la majorité, le Mouvement Écologiste devait également apporter son soutien. 6 des 8 députés du parti ont déjà signé un communiqué commun pour annoncer leur soutien sans participation à la nouvelle coalition, se félicitant de l’arrivée de l’alternance. Même si les deux députés écologistes restant ne suivaient pas leurs collègues, le gouvernement aurait suffisamment de députés pour garantir la majorité.

Du côté des partis qui formeront la nouvelle opposition, l’amertume est de mise, et ce particulièrement chez les conservateurs. Si Barbara Pélissier est restée muette ces dernières heures, quelques députés conservateurs ont regretté la « mise sur la touche » d’un parti « arrivé nettement en tête des élections ». Les nationalistes et les communistes, qui n’avaient aucune chance de siéger dans un gouvernement, n’ont pas fait de commentaire particulier sur cette annonce.

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