Hermann Rodlörter a écrit :
"Mes très chers amis,
En ce jour funeste, la mémoire de feu notre bien-aimé Leader, Rudolf Oldenber a été trahie, par la chair de sa chair même, par son propre aîné, Alexei, qui ose s’opposer à la volonté qui fut la dernière de son père. En effet, tandis que je m’applique en ce jour, à l’exercice du pouvoir, selon la volonté de feu notre Leader tel que l’affirme son testament, son fils se lance dans une lutte vaine, car illégitime. Cela dans l’unique et perfide but d’usurper un trône qui lui fut interdit par son propre père !
En outre, cette immondice, plutôt que d’affronter en face la volonté et décision de son père, a vendu son âme au malin lui-même en décidant de s’exiler au Saphyr ! Cette nation ayant tué nos pères, nos mères, nos fils, nos fils, nos femmes, nos maris ! Et il ose se clamer haut et fort qu’il est notre Leader ! Il est aujourd’hui de mon devoir, ainsi que de celui de l’intégralité de l’Unitstat, de s’unir pour préserver la stabilité de notre nation, de nos vies ! Mises en jeu par la perfidie d’un seul homme, à peine sorti du berceau !
Je vous le dis mes compatriotes, pour le Parti, pour la Nation, pour nos Familles, pour notre Avenir, unissons-nous pour faire face à l’avorton des Oldenber, celui qui est acquis au lion blanc doit cesser ses revendications atroces, bafouant les volontés de feu notre leader ! Comment suivre celui qui, a quitté son pays pour l’ennemi, craché au visage de son propre père, et eu le toupet de se revendiquer un autocrate ? Je vous le dis mes avis, il s’agit là de la plus grande des impostures vécues par notre belle nation.
L’Unitstat a toujours été, depuis sa glorieuse proclamation, une république unie, autour de son parti et de son peuple, en tant que borowenien, je ne laisserais un arriviste s’emparer de la sorte d'un pouvoir qui ne doit lui revenir ! Et par la même, troubler la stabilité de notre extraordinaire pays. Car c’est unis que sommes, furent, et seront les plus forts, borowenniens, unissez-vous ! Pour la sauvegarde de notre histoire, de nos acquis, de notre unité ! Unissons-nous contre le suppôt du Lion Blanc !
Pour la Gloire de l’Unitstat ! Pour sa sauvegarde !
Pour le Parti ! Pour vous-tous ! Pour notre Nation !
Mettons, ensemble, la tête de l'ennemi du peuple, celle d'Alexei Oldenber, sur une pique !
GLOIRE AUX BOROWENIENS !"