Akulesi Terekezi, ancien premier ministre tawkirinais, emprisonné et détenu jusqu'à nouvel ordre.
L’ancien premier ministre du Tawkirina, Akulesi Terekezi, s’est fait arrêté ce matin, à son domicile, par la gendarmerie accompagné d’hommes fortement armés, après qu’il ait publié une tribune anti-guerre Asnaywanaise et dénonçant les exaction du gouvernement de Ouga Mehro.
Hier, dans la soirée, fut publiée une tribune par Akulesi Terekzi, publiée sur son chirp, avec un grand succès au des rechirps et commentaires, concernant la situation en Asnaywana. L’ancien premier ministre, alors qu’il avait déjà quitté le gouvernement après la déclaration de guerre à l’Asnaywana affirmant alors sur ses réseaux sociaux qu'il "ne pouvait rester dans un gouvernement qui agit en désaccord avec ses principes". Cette fois, dans sa tribune, il va plus loin tentant de faire comprendre a Ouga Mehro d'arrêter ses “multiples erreurs qu’il faudra 30 ans pour réparer” a t il affirmé. De plus, il affirme que la situation la désole après tout ce qu'il a fait pour le Tawkirina durant son mandat qu’il voit “partir en poussière avec l’Asnaywana”. Enfin, il indique que “nous devons, les peuples doivent montrer au gouvernement que nous ne sommes pas d’accord avec ces actes, et, dans une démocratie, les peuples doivent être écoutés [...] Nous devons impérativement nous retirer de l’Asnaywana, avant que le Komintern ne tape trop fort”. Avant de finir par : “Le gouvernement devra répondre de ses actes illégitimes et indignes”.
Durant toute une partie de la nuit, la tribune reçut un grand succès, avant, aux alentours de 4 heures du matin, de disparaître du réseau, ainsi que tout le compte chirp de Akulezi Terekezi.
À 7 heures 15 précisément, alors que les journalistes se tenaient devant la résidence de l’ancien premier ministre pour obtenir ses réaction après le succès de sa tribune et son retrait, les journaliste ont été témoin d’une scène que l’on imaginait être du temps ancien au Tawkirina. Environ 10 vehicules sont arrivé devant la résidence, avant d’allumer les alarmes et d’y voir sortir de nombreux gendarmes et hommes armées habillé de noir. Ces derniers se précipitent vers l’entrée de la résidence et sans sommation ils détruisent la porte et dans des brouhaha et après quelques minutes ils sortent avec Akulesi Terekezi qui venait à peine de comprendre ce qui se passait. Les hommes repartirent à toute vitesse et, quelques heure plus tard, un communiqué de la gendarmerie fut publié indiquant la chose suivante : “Akulezi Terekezi à été arrêté ce matin pour des faits de non respects de l’État en période de crise ; déstabilisation en période d’État d’urgence. À la suite des investigations, il a été relevé que l'individu avait des liens avec des État extérieur et pouvait prévoir un complot, avec leur aide, en vue de réaliser un coup d’État. Il sera retenu jusqu'à la levée de l’État d’urgence après quoi il sera soumis devant un tribunal.
Ces annonces surprennent tout le monde et certains prétendent des dérives totalitaires du gouvernement actuel tandis que d'autres prétendent que le complot s’il y avait, avait été préparé avec des pays du monde libre. Pour le moment nous ne savons rien de plus. Toujours est-il que le gouvernement vient de passer un cap et que Akulesi Terekezi, ainsi premier ministre et très aimé par la population se trouve désormais dans une prison d’isolement, selon les règles légales, et que cette cellule est très vétuste. En effet, cette procédure d’attente avant jugement est normalement une procédure ne dépassant pas 48 heures et qu’il plus les cellules sont, dans le pays, différente en fonction des crimes reproché et serait, dans ce cas ci, une cellule très vétuste et sommaire.