ÉDITION DU 31 MAI 213
Iougas Girima monte sur le trône officiellement et devient Inaile Selami, Roi Mansa de Tawkirina.
Le 22 mai dernier, le palais Yemanisa Bētemenigisiti annonçait le dece de notre Roi Mansa, Tariki Girima. Il fut le seul a garder son nom de naissance comme nom royal pour montrer, non seulement que la dynastie Girima était encore sur le trône, mais aussi pour asseoir l'autorité de cette dynastie et de la monarchie constitutionnelle face au danger de l'absolutisme chez le dynastie Négus. Avec ses 28 ans de règne, feu le Roi Mansa à vécue de nombreuse chose sur son trône tel que la mise sous protectorat de l'Asnaywana, le début et la fin de la guerre avec l'Iyroée.
Il a été le troisième roi de la Monarchie constitutionnelle du pays, petit fils du premier roi constitutionnel auquel la nation doit sa Constitution. Mais il est aussi le descendant du premier Roi Mansa, réunificateur des peuples de Tawkirina que coté du quel il reposera, durant deux générations, dans la Haute salle de Yemanisa Negešitati Basīlīka (Basilique des Rois Mansa).
Son fils, Iougas Girima, monte sur le trône dans une cérémonie discrète ou il a prit le nom de Inaile Selami, signifiant "paix et prospérité" en cohérence avec le contexte actuel et la trajectoire dans laquelle le Tawkirina se dirige, qu'il soutient avec une grande ferveur selon ses propres mots. La cérémonie, comme a l'accoutumé, a eu lieu durant l'enterrement de son prédécesseur, dans la basilique des Rois Mansa. S'en est suivit un défilé du nouveau Roi Mansa dans les rue de la capital et dans tout le pays en passant par les plus grandes villes de chaque provinces, sous hautes sécurité, accompagné de l'armée.
Longue vie au roi, et comme son nom l'indique, la rédaction lui souhaite paix et prospérité !
Inaile Selami lors d'un arrêt dans une grande ville d'une province durant son défilé de couronnement.
Le premier ministre dit vouloir lancer les élections anticipées après avoir discuté avec l'État au sud ouest du pays.
Depuis la fin de la guerre avec l'Iyroée, le gouvernement a fait de nombreuses concession pour maintenir la paix et a même rencontré puis reconnu l'États de la Transmaldinie, à l'est du pays. néanmoins, le premier ministre n'a toujours pas rencontré les rebelles à l'ouest du pays faute de concordance d'emploie du temps. Pourtant, c'est une rencontre important qui doit s'ensuivre de négociations pour permettre que cette guerre ne soit définitivement qu'un lointain souvenir.
Le premier ministre a fait savoir, ce lundi, que lorsque les négociation seraient terminé avec cet État, il demandera au roi de dissoudre les représentants des peuples, afin d'amener des élections. il juge ceci important étant donné le changement crucial de contexte des élections précédentes mais surtout du changement, que l'on ne peut ignoré, du territoires et de la population du pays qui s'est vue rongé sur ses cotés sud. Néanmoins le premier minsitre risquera son poste dans cette élection mais il "acceptera ce qui en suivra", bien qu'il soit "confiant envers les électeurs et les élues qui saurons voir [en lui] un premier ministre bon, au service de la nation et capable de compromis avec les différents parti, même de l'opposition", selon ses propres mots.
L'opposition compte avoir une place importante dans le prochain gouvernement pour mettre en oeuvre un projet important.
À la suite de l'annonce du premier minsitre de vouloir lancer des élections anticipé dans l'années qui suit ou, au plus tard, dans les 18 mois, l'opposition s'est empresser de communiquer sur cette annonce quelle jugé "juste et cohérente". Mais l'opposition a fait une annonce lourde de conséquence tandis que nous sommes tout de meme loins des prochaines élections, en effet, ils se disent "prêt a conserver Akulesi Terekezi comme premier ministre, si'l nous prouve qu'il est capable de compromis et qu'il nous offre une place d'honneur dans le prochain gouvernement et nous laisse mettre en oeuvre un projet tentaculaire qui, nous sommes certains, lui plaira aussi". L'opposition n'a pas souhaitée communiqué sur le projet dont il s'agit mais semble avoir déjà discuté avec le premier ministre et semble etre un projet qui changera considérablement le pays.
Ouga Mehro, dirigeant de la coalition d'opposition, au micro des médias du pays à la suite de l'annonce d'Akulesi Terekzi
Le gouvernement compte bien confirmer sa position dans le monde libre ce qui pourrait avantager les représentants des peuples de gauche.
Le gouvernement s'est dit fervent défenseur de la liberté, de la démocratie et du droit des peuples, ce pourquoi il se bat chaque jour et raison pour laquelle il souhaite d'autant plus être accepté par le monde libre. En effet, Akulesi Terekezi (étudiant du monde libre) a affirmé que désormais, personne ne souhaitait aller a l'encontre des peuples, pas même les parties les plus extrémistes. Tandis que des élections ont eu lieu à Ostaria et on lieu au Saphyr, le gouvernement mais aussi l'entièreté des représentants des peuples espèrent que les nouveaux dirigeant du monde saurons voir en la nation du Tawkirina, une nation qui tente de se repentir et qui a besoin d'aide, de soutien et surtout de confiance pour la suite.
Taw' Merejani Yich'anu