Taw' Merejani Yich'anu

[Onishteg]

FLASH INFO
Le premier ministre ne se rendra finalement pas à Narois

Alors qu'en 215, Akulesi Terekezi affirmait qu'il se rendrait à Narois, la rencontre avait finalement été reportée jusqu'a ce que "les conditions internationales y seraient plus favorables".

Néanmoins, après 5 années, le gouvernement a affirmé qu'il ne se rendrait finalement pas à Narois afin de ne pas soutenir le régime en place, annulant ainsi toute relations diplomatiques possibles avec la junte de Narois. Néanmoins cette dénonciation de la visite par le gouvernement lui même ne donne aucune information sur les potentielles exportations du Tawkirina vers Narois.

[Onishteg]

[rétrospective de février 221]

Ouga Mehro élu Premier Ministre
et succédant à Akulesi Terekezi qui ne reste pas très loin.

Le 9 Janvier dernier, en l’an 221, alors que la date de fin de mandat pour le premier ministre approcha, le Roi Mansa de Tawkirina, comme le veut la Constitution à la fin de mandat du parlement, dissout le parlement des représentants des peuples afin de lancer les nouvelles élections législative dans le pays.
À la suite des élections, le 6 février 221, les représentants des peuples déclarèrent un nouveau Premier Ministre, Ouga Mehro, à la tête d’un gouvernement d’union comme le précédent.


Akulesi Terekezi était alors Premier Ministre depuis 11 ans depuis l’an 210, ayant obtenu un second mandat il y a 6 ans, en l’an 215.
La première partie de sa gouvernance a été marquée par une tournure vers le monde libre tandis que le pays avait vécu des temps troublés avec la guerre d’Iyroée et l’influence du Borowen. Son premier mandat sera marqué par des tentatives de paix avec l’Iyroée et un travail de fond sur celle-ci, mais aussi sur le développement considérable d'infrastructures portuaires et du développement international du thé.
Il réussit tout de même, au cours de son premier mandat, à signer la paix avec l’Iyroée et reconnaître un nouvel État apparenté communiste au sud-est du pays. Néanmoins, bien que Terekezi a remis le pays sur pied et a permis d'arrêter la guerre, son mandat est aussi marqué par une importante presence du Parti Constantin qui aura mis en oeuvre une loi visant à lutter contre l’avortement ainsi que des tensions au sud est du pays avec un groupe rebel issus de la guerre d’Iyroée, question qui n’est toujours pas tranché ce jour et qui aura bine fallut non seulement lui couter son deuxième mandat mais accentuer els tensions avec le Lysennie et creer une potentielle guerre contre ces groupes rebels.
Malgré cela, il parvient à obtenir un second mandat, grâce à une union historique pour le pays entre le parti anciennement de droite et désormais plutôt positionné au centre droit par les spécialistes depuis la présidence d’Akulesi Terekezi, Le “Parti de l'Union Démocratique Tawkirinaise” et le parti de gauche dans une coalition prenant le nom de “Union Libre, Démocratique et sociale”.


Ainsi en février 221, les peuples tawkirinais on votés, mettant en tête le parti social tawkirinais pour la première fois de l’histoire, malgré que, en coalition, les parti de droite pourrait avoir la majorité. S’en est suivi 2 jours de négociations ce qui fut court mais intense selon les proches des partis. Le 8 février 221, le parlement des représentants des peuples demandent, à 67% d’entre eux, au Roi Mansa, de nommer Ouga Mehro, alors président du parti social tawkirinais, donnant non seulement un nouveau gouvernement au pays, mais surtout un nouveau dirigeant. Ces 67% correspondent à la coalition qu’ont réussi à créer, le Parti social Tawkirina, l’Union social OSK, Le parti du monde libre, les représentants du Kilemyana et le Parti de l’union democratique tawkirinaise, recréant ainsi la même coalition qu'à la précédente mandature mais ayant mis à la tête de ce gouvernement Ouga Mehro, tandis que Akulesi Terekezi a négocié pour obtenir le poste de ministre des affaires étrangères et de l’Union d’Idylenie permettant au gouvernement de développer l’union voulu par Akulezi Terekezi et lui permettant aussi d’en rester responsable.

Néanmoins, l'élection a marqué plus de discorde qu’avant. En effet, déçu de la précédente législature où ils jugent que la gauche s’est fondue dans un coalition sans ambition sociale, le Mouvement Révolutionnaire Démocratique a choisi de ne pas rejoindre cette coalition. De plus, marquant une campagne sur la déception de la gauche radicale, ils ont obtenu un score historique pour eux dans le pays. Tandis qu’à la dernière législature, le Mouvement Révolutionnaire Démocratique qui milite pour une gauche extrême, proche du communisme, avait obtenu seulement 0,5% des voix, ils ont le 6 février 221 obtenu près de 3% leur permettant d’obtenir 16 sièges.
Ce résultat suscite des inquiétudes, d’autant qu’il y a une décennie le gouvernement avait dû prendre des mesures contre des groupuscules communistes ayant organisé des actes de tererorisme. De même, beaucoup accusent la Transmaldinie, nouveau pays au sud-ouest du pays et d'appartenance communiste d'être à l’origine de manipulation et complot pour les plus extrémistes, sinon d'influencer leur idéologie dans le pays. Ceci pourrait être à l’origine de tensions entre les populations ou même entre les deux États, tandis que les frontières sont toujours fermées et que le Tawkirina envisageait d’autoriser la délivrance de visas moins strictes.

La coalition d'extrême se maintient malgré une légère hausse pour les mêmes raisons que l’augmentation de l'extrême gauche, déçu du gouvernement, qu’il jugeait quant à eux, trop à gauche et ayant fait campagne sur le thème d’une droite radicale plutôt qu’une extrême droite que l’on connaissait auparavant.

Enfin, cette élection est porteuse d’un grand symbole pour le Kilemyana dont les habitants n’ont permis aux indépendantistes d’obtenir aucun siège au parlement. Cette disparition dans l'hémicycle des indépendantiste s’explique par un grand mouvement de développement et d'éducation dans la zone par le gouvernement, mais aussi car le Kelemyana se voit premier récepteur des bénéfices de l’exploitation du désert par le Tawkirina, permettant de développer ce protectorat qui, dans les faits, se rapproche d’une province autonome, dont les peuples y vivants aimerais s'intégrer un peu plus au Tawkirina d’apres le resultat des elections.
Ouga Mehro, Premier Ministre du collège des ministres des peuples du Tawkirina, An 221.

Ainsi, le Tawkirina se trouve avec un chef de gouvernement, Ouga Mehro, qui, comme son prédécesseur ait parvenu à rassembler les forces politiques, tandis que Akulesi Terekezi garde en charge des affaires international, symbole d’une envi de s’orienter profondément vers l’internationale et le monde libre, avec l'expérience de Terekezi. Malgré cette union, pour la deuxième fois historique et bon signe pour l’État de droit au vu des ambitions des gouvernants, de nombreuses critiques émergent sur un complot des deux partis pour garder le pouvoir, ou un complot des communistes pouvant accentuer des tensions déjà fortes.

[Onishteg]

Le Tawkirina et l'Asnaywana : voisin incompatible.

Cela fait plus d'une vingtaine d'années qu'il n'y a eu aucune relation avec l'Asnaywana du Sud et le Tawkirina, mais cela semble prendre une autre direction tandis que le Tawkirina s'est remis de la guerre d'Iyroée et s'est fortement développé depuis ces dernières années.

Le Tawkriina et l'Asnaywana du Sud n'ont plus de liens depuis de nombreuses années maintenant. Mais maintenant que le Tawkirina a pu se developper et se remettre de la guerre d'Iyroée mais aussi d'avoir des relations avec le Monde Libre, cela semble changer. En effet, secrètement, le gouvernement de Akulesi Terekzi dans le secret, aurait érigé des bases près de la frontière, officiellement destinées à protéger le pays contre d'éventuelles attaques. Ces base permettraient au Tawkirina de contrer toute attaques furtive, terrestre mais aussi aérienne. Ces bases viennent d'être rendue publique par Ouga Mehro, nouveau premier ministre, qui semble ne pas vouloir qu'une simple défense contre l'Asnaywana du Sud.

Ouga Mehro, orienté à gauche sur l'échiquier politique et grand défenseur (comme son prédécesseur) d'un Tawkirina tourné vers le Monde Libre semble voir d'un mauvais oeil les nombreuses frontière du pays devenant communistes. En effet , il aurait affirmé que les communistes nuisent à la gauche edu pays et donc au bon développement social du pays, tandis que de leur coté, la population Asnaywanaise se trouve oppressé par un régime totalitaire qui leur spolie tout, y compris leur liberté et leurs droits, ce que le Tawkirina doit défendre.
Ainsi, ces bases de défenses ce seraient de plus en plus fortifiées de forces vives depuis le début de la mandature de Ouga Mehro. Les soldat de plus en plus nombreux ne sont pas la seule chose du coté de ces bases, de nombreux missiles se seraient déplacés de ce coté et des militaires auraient été aperçue s'entrainant intensivement aux abords de la frontières.


Photo autorisée de l'une des bases de defense à la frontiers.

Alors que, lors d'une conférence de presse, nous avons interrogé le ministre de la défenses du Tawkirina, il a souligné la nécessité de se prémunir contre les régimes totalitaires voisins, considérés comme une menace réelle aux frontières du Tawkirina. Les préparatifs incluent non seulement le renforcement des effectifs militaires, mais également des mesures visant à contrer toute tentative d'invasion. La situation géopolitique semble tendue, avec le Tawkirina s'efforçant de garantir sa sécurité tout en préservant ses valeurs face à des menaces potentielles.

Le Media Taw' Merejani Yich'anu, considérant de source sur qu'un potentiel conflit pourrait s'ouvrir et dégénérer, travail fortement sur ce sujet et ouvrira des flashs infos pour informer la populations.

[Onishteg]

FLASH INFO
Situation à la frontière d'Asnaywana

Des tires auraient entendue en provenance de la frontière où son posté les troupes Tawkirinaise dans las bases construites et divulguées récemment. Aucunes info nous ait parvenu pour le moment mais il se pourrait de de nombreux tires serait échangés.

Nous vous tenons informer des que possible.

[Onishteg]

FLASH INFO
Le ministre des affaires étrangères et ancien premier ministre, Akulesi Terekezi, démissionne de son poste au gouvernement.

Alors que la guerre a été déclare par le Tawkirina en Asnaywana du Sud, et que la guerre a été déclare par Novgrad, le gouvernement vient de publier une lettre affirmant la démission de Akulesi Terekzi, ancien premier ministre et chef du Parti Démocratique Tawkirinais, de son poste de ministre des affaires étrangères.
Cette démission intervient, pour sur, à la suite de la déclaration de guerre par le premier ministre Ouga Mehro. Terekezi a affirmé sur les réseaux sociaux qu'il "ne pouvait rester dans un gouvernement qui agit en désaccord avec ses principes". De son coté Ouga Mehro, n'a pas réagis mais nous savon de source proches que cette démission a été retardé par le premier ministre, en effet cette démission aurait ete donné des l'invasion de l'Asnaywana mais le premier ministre préférait attendre pour ne pas diminuer la force du gouvernement.

De fait, Akulesi Terekezi serait alors en désaccord avec cette attaque et aurait voulu partir des le début de la guerre. De plus, nous savons que que terekezi est chef du Parti Démocratique Tawkirina, parti indispensable à la coalition gouvernementale et que, sans ce parti, Ouga Mehro sera contraint de démissionner.

[Onishteg]

FLASH INFO
Le Roi Mansa autorise les Lois Supremes Exceptionnellement Graves

Alors que la situation dégénère de plus en plus et que le Sunyxian vient de déclarer la guerre au Tawkirina, Ouga Mehro à demandé au Roi Mansa de lui autoriser les Lois Suprêmes Exceptionnellement Graves. Ainsi, à compter d'aujourd'hui, le premier ministre peut prendre toute les lois possibles dans le but de faire face à la situation exceptionnellement grave.

Cette déclaration des Lois Suprêmes Exceptionnellement Graves est très important et nécessites à la population de rester en alerte. Le Premier ministre peut décider, par décret, de tout ce qui pourrait être dans l'intérêt du Tawkirina, y compris des décisions normalement du ressort de la loi et relatif à la liberté et aux droits fondamentaux.
Cette autorisation des LSEG intervient alors que le gouvernement venait de perdre la majorité avec le retrait du Parti Démocratique du Tawkirina du gouvernement et que le Premier Ministre, aurait du, selon la Constitution, présenter sa démission et le Roi Mansa organiser une nouvelle élection. De fait, il n'y aura pas de nouvelle élection et Ouga Mehro reste premier ministre jusqu'a ce que la situation se rétablissent.

[Onishteg]

Union historique pour la gauche Tawkirinaise !

L'Union Sociale OSK et le Parti Social Tawkirinais, parti politique de gauche, historiquement opposé dans leurs idéologie et méthodes, ce sont unit sous la coupole et l'idéologie de l'Union Sociale OSK, devenant tout deux L'Union Sociale Tawkirinaise. Cet événement historique marquera le contexte politique du pays et des prochaines élections, amis s'explique aussi par la conjoncture actuelle, lié à Ouga Mehro, premier ministre issus de l'Union Sociale OSK.


Les deux partis ont depuis leur origine, des différence considérable dans leur idéologie et moyens d'action. Tandis que le Parti Social Tawkirinais est le plus ancien, l'union social OSK s'étant créé par une scission du parti dans les trois provinces du pays : Ohmarique Serkalem Koblye, d'ou leur nom, 'OSK', pour des raison d'idéologie defferend considérablement sur des points fondamentaux.
Parmis ces points fondamentaux qui différenciait les deux parti, la question du communisme. En effet, tandis que le Parti Social Tawkirinais était plus proche de l'idéologie communiste, l'Union Social OSK, issus de province plus marqué par l'impact du communisme par leur frontières, était eux des ferveur détracteur de l'idéologie communiste qu'ils considérait comme diabolisant la gauche du pays et leur empêchant ainsi d'accéder au pouvoir et ainsi de aire évoluer les conditions de vie des Tawkirinais. De fait, les deux partis avait décidé de prendre leur distance et l'Union Social OSK défendais l'intervention des force Tawkirinais contre les régime communiste, ce qu'a réalisé Ouga Mehro une fois au pourvoir.
Désormais, l'Union Social Tawkirinaise suit la ligne des détracteurs du communisme et soutiennent l'intervention des force tawkirinaise pour libérer les peuples. Cette libération des peuples était aussi une caractéristique différenciant les deux partis désormais unit. En effet l'Union social OSK défendais l'idée d'un humanisme à developper dans tout le continent en intervenant militairement dans les pays dit 'prisonnier' afin de les libérer et de laisser librement la démocratie se mettre en place sans intervenir ensuite dans le pays. De leur coté, le Parti Social Tawkirinais était lui plutôt refermé sur le Tawkirina pensant qu'il fallait d'abord bien developper le système social du pays et empêcher l'appauvrissement du pays plutôt que d'aider les autres pays du continent. De même, le Parti Social était, en cas d'intervention, pour une union des pays, sous le symbole historique du Tawkirina unificateur et protecteur des peuples, ainsi, pour l'Asnaywana par exemple, ils estimait que la région devait devenir une province au même titre que les âtres province tawkirinaise.

Aujourd'hui, la gauche est désormais dirigé par l'Union Sociale Tawkirinaise qui appel donc a un anéantissement de l'idéologie communiste qu'elle considère comme un simple prétexte pour soumettre les peuples, et est pour une intervention dans les pays afin de libérer les peuples sans pour autant intégrer ces pays au Tawkirina. Ces tournant dans l'idéologie de la gauche pourrait marquer un tournant dans l'histoire du pays mais aussi dans la suite du conflit en Asnaywana. Par ailleurs, ce conflit en Asnaywana et l'intervention sur le territoire des puissance communiste ne doit pas être pour rien dans cette union des partis, lorsque nous savons que d'après-guerres les sondage, l'idée de la peur rouge et de contre communisme grimpe en flèche dans la population, atteignant des pique a 76% des Tawkirinais ayant peur du communisme.